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Nous avions l’habitude de sortir parler aux gens avec l’écran qui montrait ce qui se passait dans les fermes industrielles. Et l’excuse numéro un était : « Nous ne savions pas ce que nous mangeons. » Ou « On essaie, mais il n’y a rien qu’on puisse manger. » Et ça m’a marqué. Donc je me suis dit, c’est peut-être le moyen de leur faire comprendre. Peut-être pas en leur disant d’arrêter de manger des animaux, mais peut-être en disant : « Pourquoi n’essayez-vous pas ça à la place ? » D’un point de vue aimant.